Mon cher Jean-Marc,
C'est avec une immense tristesse que j'ai appris ton départ, ce mardi 27 mai. L'idée que tu n'es plus là me peine profondément, d'autant plus que nous étions si proches en âge, nés à seulement un mois d'intervalle en 1972.
Je n'oublierai jamais nos jeunes années à Givry, en Saône-et-Loire. Le village était notre terrain de jeu et nous passions nos journées à courir après un ballon de football ou à échanger des balles sur le court de tennis. Ces souvenirs d'insouciance, de rires et de complicité sont gravés en moi.
Je me souviens aussi avec beaucoup d'émotion de nos escapades à Lyon pour voir des concerts. Avec Renaud Jobert, pendant ta première année de médecine, nous avons partagé des moments inoubliables, découvrant la musique et la vie en même temps.
Nos chemins se sont ensuite éloignés. Tu es parti construire ta vie à Avignon avec Malika, et j'ai été si heureux d'apprendre la naissance de vos deux enfants, Elsa et Thomas. J'ai toujours admiré ton engagement, et ton rôle de bénévole au club de rugby d'Avignon Le Pontet pendant six ans en est la preuve. Tu étais une personne généreuse et dévouée.
Aujourd'hui, c'est une partie de mon enfance qui s'éteint avec toi. Tu vas me manquer, mon ami.
Je pense fort à Malika, Elsa, Thomas, et toute ta famille dans cette épreuve.
Avec toute mon affection,
Olivier DUCROUX

Dicroux Olivier- 02-06-25